En 565, on dépose les reliquaires de Philippe et de Jacques, apôtres de Jésus, dans la basilique romaine dite « des Douze Apôtres », lors de sa consécration.
Né dans le même village que Pierre et André, Philippe est un garçon très pratique. Il va droit au but et pose des questions qui indiquent son sens de l’organisation et de la simplicité. Il est là le jour de la multiplication des pains et s’étonne qu’on puisse nourrir une telle foule avec quelques pains. Évangélisateur de la Roumanie et de la Phrygie, il meurt à Hiérapolis, à 200 km d’Éphèse. Il est le saint patron du Luxembourg, du Brabant et de l’Uruguay.
Jacques est le frère de Jude. Il devient le premier évêque de Jérusalem. C’est un grand priant. On écrit de lui : « Ses prostrations s’avèrent si fréquentes que la peau de ses genoux se trouve aussi dure que celle d’un chameau. » En l’an 62, la haine grandit contre lui car il est persuasif dans son annonce de l’Évangile. Il est précipité du haut de la terrasse du Temple et a la tête brisée d’un coup de massue. Il nous laisse une belle lettre qui fait partie du Nouveau Testament. ⛪
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